BOBSPACE VOUS INVITE A MEDITER

Créer le 06/06/2005 et mis à jour le 04/09/2010

   Infractions routières -

06/10/2004

Tout le monde est soi-disant égal devant la loi. Ce n'est nullement le cas face aux amendes pour infractions au code de la route. En effet, si le tarif est égal pour tous, il n'en est pas de même pour la capacité de paiement de celles-ci par les contrevenants. Les nantis qui roulent en Porsche, BMW, Maserati et autres bolides ne se sentiront pas trop punis en payant 175€. Par contre les masses dites laborieuses devront se serrer la ceinture. A l'heure de l'électronique, ne serait-il pas plus juste que les amendes soient proportionnelles aux capacités financières des contrevenants. (voir les déclarations d'impôts). Je lance le débat

    - Philippe Choquet de Ath -

13/04/2005

Première leçon importante

- La femme de ménage

Durant mon deuxième mois au collège, notre professeur nous a donné un petit examen surprise. J'étais un étudiant consciencieux et j'ai répondu aisément à toutes les questions jusqu'à ce que je lise la dernière :
"Quel est le prénom de la femme de ménage de l'école ?"

Il s'agissait certainement d'une blague. Je l'avais rencontrée plusieurs fois. Elle était grande, cheveux foncés et dans la cinquantaine, mais comment j'aurais pu savoir son nom ? J'ai remis mon examen en laissant la dernière question sans réponse. Juste avant la fin du cours, un étudiant a demandé si la dernière question comptait pour la note de l'examen.
"Absolument" a répondu le professeur."

Durant vos carrières, vous allez rencontrer beaucoup de gens. Ils sont tous importants. Ils méritent tous votre attention et vos soins, même s'il s'agit simplement d'un sourire et de dire bonjour."

Je n'ai jamais oublié cette leçon. J'ai aussi appris qu'elle s'appelait Dorothée.

Deuxième leçon importante

- L'aide sous la pluie

Dans la soirée, vers 23h30, une femme âgée noire se tient le long d'une autoroute de l'Alabama tentant de se protéger de la pluie battante. Son auto est tombée en panne et elle a désespérément besoin d'un transport. Détrempée, elle décide de demander l'aide de la prochaine voiture qui passe. Un jeune homme blanc s'arrête pour lui porter secours, situation très peu courante dans les années 60 troublées de conflits raciaux.
Le jeune homme l'amène en sécurité, l'aide à trouver du secours et lui procure un taxi.
Elle a l'air très pressée, mais prend le temps de noter son adresse et le remercie.
Quelques jours plus tard, on vient cogner à la porte du jeune homme. À sa grande surprise, on lui livre un meuble télé couleur grand format. Une note y est attachée. Elle dit : "Merci beaucoup de m'avoir porté secours sur l'autoroute l'autre jour. La pluie avait transpercé non seulement mes vêtements mais aussi mon esprit. Puis vous êtes arrivé. Grâce à vous, j'ai pu me rendre au chevet de mon mari mourant juste avant qu'il ne rende l'âme. Dieu vous bénisse pour m'avoir aidé et pour votre dévouement pour les autres. Bien à vous, Mme Nat KingCole."

Troisième leçon importante

- Pensez toujours à ceux qui servent

À l'époque où un sundae de crème glacée coûtait beaucoup moins, un petit garçon de 10 ans entre dans le café d'un hôtel et s'assoit à une table. Une serveuse dépose un verre d'eau devant lui. "
C'est combien pour un sundae de crème glacée ?" demande-t-il.

"50 cents" répond la serveuse.

Le petit garçon sort la main de sa poche et se met à examiner la monnaie qu'elle contient.
"Bien, combien pour un simple plat de crème glacée ?" demande-t-il.

À ce moment il y a des gens qui attendent pour une table et la serveuse commence à perdre patience.

"35 cents" répond-elle sèchement.

"Je vais prendre le plat de crème glacée" dit-il.

La serveuse lui apporte sa crème glacée, dépose l'addition sur la table et s'en retourne.
Le garçon finit sa crème glacée, paie à la caisse et s'en va. Quand la serveuse revient, elle a la larme à l'oeil en nettoyant la table.
Bien placé au côté du plat vide, il y a 15 cents. Le petit garçon ne pouvait pas prendre le sundae parce qu'il devait lui rester suffisamment de monnaie pour laisser un pourboire.

Quatrième leçon importante

- Donner quand ça compte

Il y a plusieurs années, quand je travaillais comme bénévole dans un hôpital, j'ai connu une petite fille qui s'appelait Lize qui souffrait d'une sérieuse maladie rare. Le seul espoir qu'elle s'en remette semblait être qu'elle reçoive une transfusion sanguine de son petit frère de 5 ans qui avait miraculeusement survécu à la même maladie et avait développé les anti-corps requis pour la combattre. Le médecin expliqua la situation au petit frère et lui demanda s'il serait prêt à donner son sang à sa soeur. Je l'ai vu hésiter un instant avant de prendre une grande respiration et répondre "Oui je vais le faire si c'est pour la sauver."

Au cours de la transfusion, il était étendu dans un lit au côté de sa soeur et il a souri, comme nous tous, quand il a vu sa soeur reprendre des couleurs. Puis, il a pâli et son sourire s'est fané. Il a levé les yeux vers le médecin et lui a demandé d'une voix tremblante "Est-ce que je vais commencer à mourir tout de suite ?"

Étant jeune, le petit garçon avait mal compris le médecin; il croyait qu'il devait donner à sa soeur tout son sang pour la sauver.

Maintenant vous avez deux choix :
1. Effacer ce message

2. Ou le copier pour l'envoyer aux personnes qui vous tiennent à coeur

 

24/04/2004
Incroyable !!!
1) New York City comporte 11 lettres.
2) New York est l'état n°11 des USA
3) Afghanistan comporte 11 lettres.
4) "The Pentagone" comporte 11 lettres.
5) Ramsin Yuseb comporte 11 lettres.
6) George W. Bush comporte 11 lettres.
 Vous me direz, jusque la de simple coïncidence ?
 Alors continuons, et la ça devient vraiment bizarre...
7) Le premier vol à se planter contre les «twins towers» était le vol 11
8) Le vol Nº11 comptait 92 passagers, ce qui donne en additionnant 9+2=11.
9) Le 2eme vol Nº77, comptait 65 passagers soit 6+5=11
10) La tragédie a eu lieu le 11 de Septembre, soit le 11/9 (1+1+9=11).
11) La date coïncide avec le numéro des urgences 911 ou 911=9+1+1=11.
 Et maintenant encore plus bizarre...
12) Le nombre de victimes dans les avions s'élève à 254 passagers. 254:2+5+4=11.
13) Le 11 Septembre, est le 254eme jour de l'année soit:2+5+4=11.
14) A partir du 11 septembre, il reste 111 jours jusqu'a la fin de l'année
15) Nostradamus (11 lettres)a prévu la destruction de New York dans son chapitre 11

Et voici le plus inquiétant :
L'attentat de Madrid qui a tué 209 personnes (2+9=11) s'est produit le 11.03.2004=1+1+3+2+4=11
Enfin est-il utile de rajouter : que les «twin towers» de par leur formes nous rappelle le chiffre 11
que les trains de Madrid étaient programmé pour sauter à leur entrée en gare au moment où ils se croisent donc (11 vu du dessus)
QUE DITES VOUS DE CA?

13/09/2003

Gaston est gérant dans la restauration à Paris. Il esttoujours de bonne humeur et a toujours quelque chose depositif à dire.
Quand on lui demande comment il va, il répond toujours: " Si j'allais mieux que ça, nous serions deux: mon jumeau et moi!" 
Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts
à lâcher leur job pour le suivre d'un restaurant à un autre pour la seule raison qu'ils admirent son attitude. Quand unemployé file du mauvais coton, Gaston est toujours là pourlui fairevoir le bon côté des choses.

Curieux, je suis allé voir Gaston un jour pour lui demander:" Je ne comprends pas. Il n'est pas possible d'être toujours  positif comme ça, partout, tout le temps. Comment fais-tu? "  

Et Gaston de répondre: " Tous les matins à mon réveil, je me  dis que, aujourd'hui, ou bien je choisis d'être de bonne humeur, ou bien je choisis d'être de mauvaise humeur.  Jechoisis toujours d'être de bonne humeur. Quand il arrivequelque incident déplorable, ou bien je choisis d'en être la victime, ou bien je choisis d'en tirer une leçon. Quand quelqu'un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d'entendre sa plainte, ou bien j'essaie de lui faire voir le bon cote de la chose. "
 Mais ce n'est pas toujours si facile " , lui dis-je. 

Et Gaston d'enchaîner: " La vie, c'est une question de choix. On choisit sa façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non. On  choisit d'être de bonne humeur ou de mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient."

Plusieurs années plus tard, j'entends dire que Gaston a fait incidemment ce qu'on ne doit jamais faire dans la restauration : il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s'est fait surprendre par trois voleurs armés.

En essayant d'ouvrir le coffre fort, sa main tremblante de nervosité, il n'arrivait pas a faire la combinaison numérique.
Un des intrus a paniqué et a tiré. Heureusement
pour Gaston, les choses n'ont pas traîné et il a été vite transporté à l'hôpital. 

Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Gaston a reçu son congé de l'hôpital avec les débris de la balle qu'on n'avait pas réussi à lui extraire.  

J'ai revu Gaston six mois après l'incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout cela. " Si j'allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux: mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices? "

Je n'ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce  qui lui était passé par la tête au moment du vol.
Et Gaston de dire: " La première chose qui m'est venu à l'idée est que j'aurais dû fermer à clef la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m'être fait descendre, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : ou bien de vivre ou bien de mourir.
Et j'ai choisi de vivre. "

T'as pas eu peur, lui dis-je ?

Et lui de répondre: " Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n'ont pas cessé de me dire que tout allait bien.
Mais en  entrant dans le bloc opératoire de  l'hôpital, j'ai vu l'expression faciale des médecins et des infirmières et, là,  j'ai eu peur.
J'ai vu dans leurs yeux que j'étais un homme mort et j'ai su que je devais agir vite. "

Et alors, qu'as-tu fait?

Eh bien, mon ami, il y avait une grosse infirmière qui me bombardait de questions ; elle voulait savoir si j'étais allergique à quelque chose. J'ai dit oui, et les  médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j'allais leur dire. J'ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j'étais allergique aux balles de fusil! Quand ils ont eu cessé de rire, je leur ai dit que j'avais fait le choix de vivre et qu'ils feraient mieux de m'opérer comme si j'étais un homme vivant plutôt qu'un homme mort!

Gaston a survécu grâce à l'expérience des médecins mais aussi grâce a son attitude étonnante!
J'ai appris de lui que, tous  les jours, nous devons faire des choix: afin de bien profiter de la vie ou pour s'y emmerder tant qu'on veut.
La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes.

Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout le reste est de la petite bière.

Maintenant, c'est a vous de choisir: 

1- ou bien vous faites disparaître ce message
2- ou bien vous l'acheminez à des gens qui vous sont proches.

J'ai choisi la deuxième option et j'ose croire que vous en ferez autant.

Une question d'attitude!

01/04/2001

Si on pouvait réduire la population du monde en un village de 100 personnes tout en maintenant les proportions de tous les peuples existants sur la terre, ce village serait composé de :

57 asiatiques

21 européens

14 américains (Nord, Centre et Sud)

08 africains

 

Il y aurait :

52 femmes et 48 hommes

30 blancs et 70 non blancs

30 chrétiens et 70 non chrétiens

89 hétérosexuels et 11 homosexuels

06 personnes posséderaient 59% de la richesse totale et tous les 06 seraient originaires des USA.

80 vivraient dans des mauvaises maisons

70 seraient analphabètes

50 souffriraient de malnutrition

01 serait en train de mourir

01 serait en train de naître

01 possèderait un ordinateur

01 (oui, un seulement) aurait un diplôme universitaire

 

Si on considère le monde de cette manière, le besoin d'accepter et de comprendre devient évident.

 

Prenez en considération aussi ceci :

Si vous vous êtes levé ce matin avec plus de santé que de maladie c'est que vous êtes plus chanceux que le million de personnes qui ne verra pas la semaine prochaine.

Si vous n'avez jamais été dans le danger d'une bataille, la solitude de l'emprisonnement, l'agonie de la torture, l'étau de la faim, vous êtes mieux que 500 millions de personnes.

Si vous pouvez aller à l'église sans peur d'être menacé, torturé ou tué vous avez une meilleure chance que 3 milliards de personnes.

Si vous avez de la nourriture dans votre frigo, des habits sur vous, un toit sur votre tête et un endroit pour dormir, vous êtes plus riche que 75% des habitants de la terre.

Si vous avez de l'argent à la banque, dans votre portefeuille et de la monnaie dans une petite boite, vous faites partie des 8% les plus privilégiés du monde.

Si vos parents sont encore vivants et toujours mariés, vous êtes des personnes réellement rares.

Si vous lisez ce message, vous venez de recevoir une double bénédiction,parce que quelqu'un a pensé à vous et parce que vous ne faites pas partie des deux milliards de personnes qui ne savent pas lire.

 

Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent.

Aime comme si personne ne t'avait jamais fait souffrir.

Danse comme si personne ne te regardait.

Chante comme si personne ne t'écoutait.

Vis comme si le paradis était sur terre.